Article du 20mn :
Il n'en est pas mort. Mais Didier Jambart a pourtant baptisé cette période de sa vie, la «descente aux enfers». Cet habitant d'Indre (Loire-Atlantique) réclame, ce jeudi, devant le tribunal de Nantes, 450.000 au laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) pour ne pas lui avoir signalé les effets indésirables du médicament Requip.
Il perd 100.000 dans les casinos
Marié, cet homme de 52 ans a commencé à soigner sa maladie de Parkinson au Requip en 2003. Le médicament est efficace, ses effets secondaires désastreux. Devenu dépendant au jeu, Didier Jambart dépense 100.000 en un an dans les casinos. Il se met même à voler des cartes de crédit pour assouvir sa passion. Y compris auprès de ses nouvelles conquêtes homosexuelles.
Car Didier Jambart est aussi devenu sujet à à l'hypersexualité et même à l'exhibitionnisme. «GSK a réclamé une nouvelle expertise, confie aujourd'hui Antoine Béguin, son avocat. Mon client est prêt à le faire. Deux rapports attestent des problèmes du Requip...» De son côté, l'Agence française de sécurité sanitaire a détecté une centaine de cas similaires. Le Requip, lui, est toujours autorisé. Avec une mise en garde sur sa notice.
Bah ! Je connais plein de gens qui font la même sans médicament...
En ce qui me concerne, vous m'en mettrez 15 caisses...
olgamapetitebonnefemmeduradadaquestpasrevenuedunébraska
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