L'avait zuste un peu grossi...
olgamapetitebonnefemmeduradada
Bienvenue sur le site de L'AMG (L'Amicale du Mauvais Goût). Vous entrez dans un espace protégé du bon goût par une équipe d’amicalistes passionnés, tous défenseurs du droit au mauvais goût. Envoyez vos contributions à mauvaisgout@gmail.com
jeudi 24 mars 2011
Barbie désarticulée
Banalités...
Alors là, le coup du crocodile, on nous l'a déjà fait mille fois !
C'est d'un banal !
olgamapetitebonnefemmeduradada
C'est d'un banal !
olgamapetitebonnefemmeduradada
QUESTION
Article du 20 mn :
Les Français rigolent. Mais les Mexicains jurent leurs grands dieux que la statue est « fausse ». Moins d'un mois après l'annulation de l'Année du Mexique en France, les deux pays ont vu leurs relations se tendre un peu plus, hier. Cette fois, l'origine du courroux est un dieu maya. Vendue lundi, au milieu d'une collection d'art précolombien à l'Hôtel Drouot, la statue de 1,56 m serait « fausse », d'après l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique.
Un record de vente
« Sur les 207 pièces du catalogue, 67 sont de fabrication récente, assure l'Institut. La statue, elle, n'appartient à aucune culture préhispanique. » C'est pourtant ce qu'assure Binoche et Giquello qui a cédé la fameuse statue pour 2,9 millions d'euros, un record. « C'est ridicule, confie Jean-Claude Binoche. Quand on achète pour trois millions, on fait quand même gaffe au produit. Cette statue a été exposée partout dans le monde. Elle est archiconnue... » Vendue par un homme d'affaires suisse, elle est, en tout cas aujourd'hui, la propriété d'une grande entreprise étrangère.
Vincent Vantighem
Alors ? Question ?
Une fausse oeuvre d'art devient-elle vraie pour 2,9 millions d'euros ?
olgamapetitebonnefemmeduradada
Les Français rigolent. Mais les Mexicains jurent leurs grands dieux que la statue est « fausse ». Moins d'un mois après l'annulation de l'Année du Mexique en France, les deux pays ont vu leurs relations se tendre un peu plus, hier. Cette fois, l'origine du courroux est un dieu maya. Vendue lundi, au milieu d'une collection d'art précolombien à l'Hôtel Drouot, la statue de 1,56 m serait « fausse », d'après l'Institut national d'anthropologie et d'histoire du Mexique.
Un record de vente
« Sur les 207 pièces du catalogue, 67 sont de fabrication récente, assure l'Institut. La statue, elle, n'appartient à aucune culture préhispanique. » C'est pourtant ce qu'assure Binoche et Giquello qui a cédé la fameuse statue pour 2,9 millions d'euros, un record. « C'est ridicule, confie Jean-Claude Binoche. Quand on achète pour trois millions, on fait quand même gaffe au produit. Cette statue a été exposée partout dans le monde. Elle est archiconnue... » Vendue par un homme d'affaires suisse, elle est, en tout cas aujourd'hui, la propriété d'une grande entreprise étrangère.
Vincent Vantighem
Alors ? Question ?
Une fausse oeuvre d'art devient-elle vraie pour 2,9 millions d'euros ?
olgamapetitebonnefemmeduradada
Le médicament du DIABLE !!!!!
Article du 20mn :
Il n'en est pas mort. Mais Didier Jambart a pourtant baptisé cette période de sa vie, la «descente aux enfers». Cet habitant d'Indre (Loire-Atlantique) réclame, ce jeudi, devant le tribunal de Nantes, 450.000 au laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) pour ne pas lui avoir signalé les effets indésirables du médicament Requip.
Il perd 100.000 dans les casinos
Marié, cet homme de 52 ans a commencé à soigner sa maladie de Parkinson au Requip en 2003. Le médicament est efficace, ses effets secondaires désastreux. Devenu dépendant au jeu, Didier Jambart dépense 100.000 en un an dans les casinos. Il se met même à voler des cartes de crédit pour assouvir sa passion. Y compris auprès de ses nouvelles conquêtes homosexuelles.
Car Didier Jambart est aussi devenu sujet à à l'hypersexualité et même à l'exhibitionnisme. «GSK a réclamé une nouvelle expertise, confie aujourd'hui Antoine Béguin, son avocat. Mon client est prêt à le faire. Deux rapports attestent des problèmes du Requip...» De son côté, l'Agence française de sécurité sanitaire a détecté une centaine de cas similaires. Le Requip, lui, est toujours autorisé. Avec une mise en garde sur sa notice.
Bah ! Je connais plein de gens qui font la même sans médicament...
En ce qui me concerne, vous m'en mettrez 15 caisses...
olgamapetitebonnefemmeduradadaquestpasrevenuedunébraska
Il n'en est pas mort. Mais Didier Jambart a pourtant baptisé cette période de sa vie, la «descente aux enfers». Cet habitant d'Indre (Loire-Atlantique) réclame, ce jeudi, devant le tribunal de Nantes, 450.000 au laboratoire GlaxoSmithKline (GSK) pour ne pas lui avoir signalé les effets indésirables du médicament Requip.
Il perd 100.000 dans les casinos
Marié, cet homme de 52 ans a commencé à soigner sa maladie de Parkinson au Requip en 2003. Le médicament est efficace, ses effets secondaires désastreux. Devenu dépendant au jeu, Didier Jambart dépense 100.000 en un an dans les casinos. Il se met même à voler des cartes de crédit pour assouvir sa passion. Y compris auprès de ses nouvelles conquêtes homosexuelles.
Car Didier Jambart est aussi devenu sujet à à l'hypersexualité et même à l'exhibitionnisme. «GSK a réclamé une nouvelle expertise, confie aujourd'hui Antoine Béguin, son avocat. Mon client est prêt à le faire. Deux rapports attestent des problèmes du Requip...» De son côté, l'Agence française de sécurité sanitaire a détecté une centaine de cas similaires. Le Requip, lui, est toujours autorisé. Avec une mise en garde sur sa notice.
Bah ! Je connais plein de gens qui font la même sans médicament...
En ce qui me concerne, vous m'en mettrez 15 caisses...
olgamapetitebonnefemmeduradadaquestpasrevenuedunébraska
Inscription à :
Articles (Atom)