avec son sobriquet de LAZY COCHON ) je lui soumets une page de poésie :
LE SONNET DU TROU DU CUL
Par ARTHUR RIMBAUD et PAUL VERLAINE
En forme de parodie d’un volume d’Albert Mérat, intitulé l’Idole,
où sont détaillées toutes les beautés d’une dame :
Sonnet du front, sonnet des yeux, sonnet des fesses, sonnet du… dernier sonnet.
Obscur et froncé comme un oeillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la pente douce
Des fesses blanches jusqu’au bord de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous l’auteur cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse,
Pour s’en aller oï la pente les appelait.
Ma bouche s’accouple souvent à sa ventouse
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots
C’est l’olive pâmée et la flûte câline
C’est le tube oï descend la céleste praline
Chanaan féminin dans les moiteurs éclos.
A apprendre par coeur et à réciter au Pdt Riri.
Lolo le Gros Mulot
A apprendre par coeur et à réciter au Pdt Riri.
Lolo le Gros Mulot